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Qualité de vie au travail : tout savoir en 10 questions

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Auteur
Par
Laetitia Gentili

Vous avez plein d’interrogations sur la qualité de vie au travail ? Vous aimeriez une synthèse pour comprendre tout ce qui se cache derrière cet acronyme « QVT », dont tout le monde parle ? Pour les plus pragmatiques d’entre vous, vous cherchez aussi à savoir comment améliorer le bien-être des collaborateurs au sein de votre entreprise… Vous êtes au bon endroit : nous répondons à toutes vos questions dans cet article !

 

1. Qu’est-ce que la qualité de vie au travail ?

 

Selon l’accord national interprofessionnel du 19 juin 2013 (ANI), “la qualité de vie au travail désigne et regroupe les dispositions récurrentes abordant notamment les modalités de mises en œuvre de l’organisation du travail permettant de concilier les modalités de l’amélioration des conditions de travail et de vie pour les salariés et la performance collective de l’entreprise.

En bref, ce que l’on appelle QVT, ou Qualité de Vie au Travail, est une démarche de l’entreprise visant à concilier à la fois performance et bien-être des collaborateurs. Son champ d’action est à l’intersection de trois grandes aires d’enjeux que sont : le marché, la société et la santé (ces enjeux sont expliqués dans notre précédent article « Le coaching professionnel pour une qualité de vie au travail globale »).

Cette notion de QVT est donc assez large et englobe plusieurs facteurs (énoncés pour la plupart dans l’ANI de 2013) :

  • la qualité de l’engagement de tous à tous les niveaux de l’entreprise ;
  • la qualité de l’information partagée au sein de l’entreprise ;
  • la qualité des relations de travail (reconnaissance, communication,…) ;
  • la qualité des relations sociales, construites sur un dialogue social actif ;
  • la qualité des modalités de mise en œuvre de l’organisation du travail ;
  • la qualité du contenu du travail ;
  • la possibilité de réalisation et de développement personnel ;
  • la possibilité de concilier vie professionnelle et vie personnelle ;
  • le respect de l’égalité professionnelle;
  • la sécurité et la santé au travail,
  • la formation et le développement professionnel,
  • la rémunération et les avantages sociaux,
  • et la possibilité de participer aux décisions qui affectent leur travail.

Cette liste est non exhaustive, la mise en œuvre de la QVT doit être adaptée aux besoins spécifiques des employés et de l’entreprise. Vous l’aurez compris la QVT est une notion très large !

 

2. Quelles sont les sources de bien-être au travail ?

 

Il y a de nombreux facteurs contribuant au bien-être des salariés en entreprise. Leur degré d’importance est assez variable d’un individu à l’autre, en fonction de sa personnalité et de ses contraintes. De plus, le bien-être au travail ne peut pas être totalement séparé du bien-être global d’une personne. La frontière entre vie personnelle et vie professionnelle est en réalité assez poreuse. Cette subjectivité rend parfois la notion de QVT difficile à cerner.

En interrogeant de nombreux collaborateurs, plusieurs études sont arrivées à des conclusions similaires en catégorisant les principales sources de bien-être au travail : 

  • le sens que l’on donne à son travail, le fait de se sentir utile ; 
  • le contenu stimulant de ses missions, ainsi que les perspectives d’évolution ;
  • le degré d’autonomie et l’adéquation entre ses compétences et son emploi ;
  • la reconnaissance par son employeur, des feedbacks constructifs ;
  • les relations de travail, l’esprit d’équipe, l’ambiance, l’entraide, la confiance, le respect ;
  • les conditions de travail, la charge de travail, l’environnement, la rémunération ;
  • l’équilibre vie personnelle / vie professionnelle ;
  • le management, la clarté des process, des rôles, la transparence des prises de décision ;
  • le sentiment d’appartenance et la fierté de faire partie de l’entreprise.

 

3. Pourquoi les entreprises ont-elles intérêt à améliorer la qualité de vie au travail ?

Chiffres clés sur l'importance de la qualité de vie au travail
Chiffres clés sur l'importance de la qualité de vie au travail

 

Tout le monde y gagne avec la QVT, que ce soit les employés qui seront moins stressés et donc plus productifs, ou les entreprises qui auront des bénéfices tangibles à gagner de la mise en place d’actions d’amélioration du bien-être des salariés. La QVT est un excellent levier pour :

  • Assurer le bien-être et la santé des employés au sein de leur entreprise. Ainsi des démarches de QVT, vont permettre la réduction du stress, de la fatigue et des risques psychosociaux liés au travail ! Elles favorisent également l'épanouissement personnel et professionnel, ainsi que le développement des compétences.

  • Rendre les entreprises plus performantes. D’après une étude de la Harvard Business Review et du MIT (2013), les employés heureux sont 31 % plus productifs, 6 fois moins absents et 55 % plus créatifs ! La QVT est bel et bien un levier de compétitivité pour l’entreprise. Selon une autre étude, mais cette fois de Sodexo sur “les Défis des PME pour la QVT”, 86% des entreprises ont augmenté leur productivité après avoir mis en place des outils et un plan d’action pour la QVT !  Ainsi motivation, innovation, implication, attractivité, ou encore satisfaction client seront au rendez-vous !

  • Faire des économies, ce qui n’est pas négligeable avec le contexte actuel ! À un niveau plus macro, l’institut Gallup a fait le calcul : le désengagement au travail coûterait 97 milliards d'euros à l'économie française… Quand on sait que moins d’un quart des travailleurs se considèrent « très engagés » au travail en 2021, on comprend qu’il y a une marge de progrès à explorer du côté de la QVT.  Cette dernière permettra de réduire les coûts et limiter l’absentéisme, le turnover, le présentéisme, les erreurs, la mauvaise réputation, et on en passe.


4. Comment mesurer la qualité de vie au travail de son entreprise ?

 

Selon une étude de  Malakoff Médéric Humanis de 2019, 73% des salariés se déclarent satisfaits de leur qualité de vie au travail. La part des salariés « très satisfaits » est de 37%.

L’ANACT (Agence Nationale d’Amélioration des Conditions de Travail) a établi 6 principaux indicateurs permettant selon elle d’évaluer la qualité de vie au travail :

  • Relations sociales et de travail.
  • Contenu du travail.
  • Environnement physique de travail.
  • Organisation du travail.
  • Réalisation et développement professionnel.
  • Conciliation entre vie professionnelle et vie privée.

Mesurer la QVT est donc un enjeu important pour les entreprises ! Il existe différentes façons de la mesurer, en voici trois exemples :

  • Le questionnaire satisfaction, qui est rempli par les salariés. Le but est d’évaluer leur perception de la QVT de l’entreprise. Il comprendra des questions qui englobent différents aspects de cette dernière, tels que l'environnement de travail, les relations interpersonnelles, la reconnaissance, la charge de travail, etc. Les réponses permettent d'identifier les points forts et les points faibles de l'entreprise et donc de définir des axes d'amélioration.

  • Les indicateurs sociaux : le taux d'absentéisme, le taux de turnover, le taux d'accidents du travail, le niveau de satisfaction des salariés, etc.

  • Les entretiens individuels, qui vont permettre de recueillir les impressions et les ressentis des salariés sur leur travail et leur environnement de travail. Ils peuvent également permettre de détecter des problèmes éventuels et de mettre en place des solutions adaptées.

 

5. Comment mettre en place une démarche QVT ?

 

Pour initier une démarche QVT dans votre entreprise, inutile de vous embarquer dans une usine à gaz. Voici les 4 étapes à suivre pour avancer méthodiquement vers une meilleure qualité de vie au travail :

  • Phase de cadrage

On commence par réunir les parties prenantes (direction, RH, managers et représentants du personnel) pour discuter de la place de la QVT dans l’entreprise. De quoi parle-t-on ? Quel est le contexte ? Quelles sont les priorités ? 

  • Phase d’audit

On étudie l’existant : qu’est-ce qui fonctionne bien ? Qu’est-ce qui va mal ? On cherche alors des pistes d’améliorations. 

  • Phase d’expérimentation

On met en place les solutions choisies sur un périmètre pilote, pour tester l’efficacité du dispositif. On mesure les résultats, puis on itère : on ajuste, on teste, on recommence… 

  • Phase de diffusion 

On choisit la solution qui a fait ses preuves et on l’étend à un plus large périmètre, jusqu’à la généraliser à toute l’entreprise, si nécessaire. 

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6. Qui sont les acteurs de la QVT en entreprise ?

 

  • La Direction Générale (DG)

Il est de la responsabilité de l'entreprise d'avoir une approche préventive de la qualité de vie au travail. Elle doit veiller, au minimum, à mettre en place une organisation qui n'abîme pas ses collaborateurs. En outre, l’implication de la direction est essentielle pour maximiser les résultats d’une démarche QVT. Elle joue le rôle de sponsor et encourage l’adoption des solutions en montrant l’exemple.

  • La Direction des Ressources Humaines (DRH)

C’est en général la DRH qui organise et pilote la démarche QVT dans l’entreprise. Elle a un rôle de diagnostic, de conseil, de mise en place d’outils et de mesure des résultats, que ce soit au niveau individuel ou collectif. Elle peut évidemment faire intervenir des cabinets spécialisés ou des prestataires externes pour l’accompagner dans ces projets.

  • Les managers

Les managers de proximité ont un rôle central dans l’approche QVT d’une entreprise. Ce sont eux qui mettent en application la politique QVT, au quotidien et sur le terrain. Au-delà de ça, un manager soucieux de la qualité de vie au travail de ses équipes est un manager qui va être capable de fédérer, de motiver, d’accompagner le changement, de faciliter le travail collectif, d’être à l’écoute et de gérer son stress et celui de ses collaborateurs, d’avoir de l’empathie, mais aussi de savoir prendre du recul et lâcher-prise pour leur laisser de l’autonomie. Tous les managers ne sont pas préparés à ce rôle et ces responsabilités et/ou n’en n’ont pas pris l’entière mesure. C’est pourquoi il est important que l’entreprise sensibilise, forme et accompagne les middle managers pour pouvoir diffuser la QVT à tous les niveaux.

  • Les collaborateurs

Les salariés sont eux-mêmes acteurs de leur propre QVT en développant leurs compétences (et donc leur employabilité), en exprimant leurs revendications, en faisant appel aux interlocuteurs dédiés pour signaler des problèmes et demander de l’aide, ainsi qu’en ayant un comportement contribuant à une bonne qualité de vie au travail en général dans leur entreprise.

  • Le Comité Social et Économique (CSE)

Le CSE est l’instance de représentation du personnel dans l’entreprise. Son rôle est d’assurer le dialogue social entre l'employeur et les salariés. Il remonte notamment les réclamations des employés concernant l'application de la réglementation du travail, les questions relatives à la santé, la sécurité et aux conditions de travail…

  • Les Services Interentreprises de Santé au Travail (SIST)

Les SIST sont des associations qui regroupent différents métiers spécialistes de la QVT : médecin du travail, infirmier, assistant social, ergonome, psychologue du travail, expert HSE (Hygiène / Sécurité / Environnement)… Ils ont un rôle de prévention et de conseil aux entreprises. Leur mission est de protéger la santé et la sécurité des salariés, prévenir les risques professionnels, améliorer les conditions de travail et favoriser le maintien dans l’emploi.

 

7. Quels sont les outils de la qualité de vie au travail ?

 

On peut distinguer deux types d’outils : les outils de mesure et les outils d’amélioration de la QVT.

  • Les outils de mesure de la QVT

Dans cette catégorie, on trouve tous les outils servant à collecter des données quantitatives et qualitatives pour établir un diagnostic et mesurer les résultats des actions. Parmi eux : l’enquête interne annuelle, les sondages ponctuels, le calcul du eNPS (employee Net Promoter Score), les audits et classements du type « Great Place To Work », etc.

  • Les outils d’amélioration de la QVT

Au sein de cette catégorie, on peut encore diviser les outils en fonction de leur caractère curatif (prise en charge d’un salarié en souffrance) ou préventif (le coaching professionnel, par exemple).

Dans nos coachings Simundia, nous avons souvent observé ceci : un collaborateur se retrouve « en tension » lorsqu’un décalage naît entre son environnement de travail et ses besoins / motivations / valeurs (selon les cas). Quelques exemples : un salarié ayant un grand besoin de stabilité et de sécurité, dans un contexte professionnel en pleine transformation ; un travail très procédurier et contrôlé, quand le collaborateur est motivé par l’autonomie ; ou encore, un style de management (autoritaire) qui est en conflit avec les valeurs de la personne (coopération)… 

 

Ce fut le cas d’un manager qu’un de nos coachs a accompagné dans un contexte de PSE (Plan de Sauvegarde de l’Emploi). Stressé par la nouvelle, sa demande initiale était : « Comment accompagner mes équipes dans cette incertitude ? ». Au cours des 3 séances, le coach a amené le coaché à identifier ce qui était important pour lui : bien faire son travail de manager vis-à-vis de ses collaborateurs. La situation actuelle ne lui apportait pas de réponse à cette motivation. Le coach l’a aussi invité à faire la différence entre ce qu’il pouvait contrôler (son comportement / ses actions / ses paroles), et ce sur quoi il n’a pas d’influence (les décisions du PSE). Puis, à se concentrer sur ce qu’il pouvait changer. Par exemple, aider ses collaborateurs à chercher un autre emploi… En se recentrant sur les actions qu’il pouvait réaliser maintenant, il a pu se sortir d’une projection stressante de la situation et lâcher prise sur ce qu’il ne pouvait pas contrôler. 

 

8. Comment améliorer la qualité de vie au travail en entreprise ? 

 

Grâce à nos échanges réguliers avec de nombreux DRH et consultants experts, nous avons recueilli d’intéressantes recommandations et ainsi pu faire un top 10 des bonnes pratiques pour assurer la QVT au sein de votre entreprise et ce tout au long du parcours collaborateurs :

  1. Mettre en place un pré-onboarding, pour rassurer ! Il est possible de créer un kit de contenu de pré-onboarding à envoyer au collaborateur avant son premier jour, comme par exemple le programme de sa semaine d’intégration.

  1. Améliorer l’onboarding pour créer du lien et intégrer. Cela peut passer par l’attribution d’un parrain pour accompagner le collaborateur les premières semaines.

  1. Organisez des évènements, pour favoriser la cohésion d’équipe. La mise en place de team building, de déjeuners entre collaborateurs, de soirées d’entreprises, séminaires… En bref des moments conviviaux et de partages pour permettre un environnement de travail agréable et stimulant.

  1. Développez le travail hybride pour assurer plus de flexibilité. Ainsi cela permettra une bonne conciliation entre vie professionnelle et vie personnelle. Cela passe par des horaires flexibles, le télétravail, les congés parentaux, le temps partiel, la semaine de 4 jours,...

  1. Favorisez la formation (comme le coaching !) pour permettre le développement des compétences. Il est important que les employés aient des perspectives d’avenir, de progressions au sein même de l’entreprise. Il faut aussi fixer des objectifs réalistes. Tout cela sera vecteur de motivation et de fidélisation pour vos talents (retrouvez les 6 leviers de motivation au travail dans notre dernier article sur le sujet) !

  1. Assurez un bon monitoring pour être à l’écoute des collaborateurs. Par exemple réalisez des enquêtes internes régulières pour mesurer l’engagement collaborateurs, détecter des besoins, observer la tendance au fil du temps et suivre des indicateurs clés de la QVT (taux d’absentéisme, taux de turnover).

  1. Favorisez la prévention des risques psychosociaux qui peuvent avoir des conséquences parfois graves sur la santé mentale et physique des employés (maladies cardio-vasculaires, burn-outs…).

  1. Mettez en avant les valeurs d’entreprise pour donner du sens. Organisez des ateliers pour identifier les valeurs incarnées par le projet de l’entreprise, les méthodes de travail et les rituels quotidiens.

  1. Préparez un bon process d’offboarding, pour anticiper une potentielle réembauche. Vous pouvez prévoir un process pour que le collaborateur quitte l’entreprise dans de bonnes conditions : process administratif, passation, pot de départ,…

  1. Célébrez les échecs pour encourager le droit à l’erreur, et bien sûr, les réussites !

D’autres pistes et actions pour améliorer le niveau de QVT de votre entreprise :

  • Vérifier le niveau de charge de travail des collaborateurs à fréquence régulière, au minimum à l’occasion des entretiens annuels.
  • Imposer des temps de déconnexion et/ou mettre en place quelques règles pour limiter les sources de distraction telles que les notifications intempestives et l’usage excessif des e-mails.
  • Former et sensibiliser l’ensemble des acteurs (RH, managers, collaborateurs, élus CSE…) au sujet de la QVT.
  • Mettre en place des programmes de ré-onboarding pour les salariés qui se sont absentés (maternité, maladie, congé longue durée…) ou reviennent d’une longue période de travail à distance.


9. Quelles sont les obligations employeurs sur la QVT ?

 

La QVT est encadrée par la loi, par exemple, le Code du travail, en son article L2242-1 impose à l’employeur d’assurer, au moins tous les 4 ans, des négociations dans les entreprises “où sont constituées une ou plusieurs sections syndicales d'organisations représentatives”. Ainsi, ces négociations porteront sur les salaires, le temps de travail et le partage de la valeur ajoutée dans l'entreprise ; mais également sur l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes. En son article L. 4121-1 le Code du travail impose aussi à tout employeur une obligation légale “d’assurer la sécurité et protéger la santé physique et mentale des travailleurs”. Cela passe par la prévention des risques professionnels, des actions d’informations et de formations, etc.

Heureusement, on observe depuis plusieurs années le passage d’une logique qui se limite au (simple) respect des obligations légales par l’employeur à une logique de choix stratégique et de responsabilité sociétale. En effet, comme nous avons pu le voir précédemment, la QVT est devenue un enjeu très important pour les entreprises ! Elle a un impact direct sur la productivité, la motivation, la fidélisation des salariés et leur bien-être au travail. Les entreprises qui assurent un bon cadre de travail à leurs employés vont aussi renforcer leur image de marque employeur.

Il faut également noter qu’une politique de QVT joue un rôle considérable dans la réalisation des objectifs de RSE d’une entreprise, notamment en matière de respect des droits de l'homme, de développement durable, d'équité et de diversité.

Par exemple, une entreprise qui valorise la diversité en favorisant l'inclusion des personnes en situation de handicap peut contribuer à la lutte contre les discriminations. Ou une encore une entreprise qui favorise l'équilibre vie professionnelle/vie personnelle de ses salariés en proposant des horaires flexibles ou du télétravail peut contribuer à la réduction des émissions de gaz à effet de serre liées aux déplacements domicile-travail de ses salariés.

De plus, la crise sanitaire a bouleversé le monde du travail, obligeant les entreprises à se questionner et se transformer pour faire face à l’incertitude avec résilience, tout en préservant leurs salariés des risques psychosociaux (RPS).

 

 

10. Comment inscrire le coaching dans votre démarche QVT ?

 

Notre mission, chez Simundia, est d'aider les entreprises et leurs équipes à rester performantes dans un contexte de transformation permanente. Nous voyons le coaching comme un outil préventif, au service des entreprises et des collaborateurs, pour justement concilier performance et bien-être au travail.

C’est d’ailleurs ce que nous avons fait pour un client dans le secteur du conseil en stratégie, dont l’enjeu était l’attraction et la fidélisation des talents. Ce secteur est réputé pour être très exigeant et concurrentiel, ainsi que pour avoir un taux de turnover plus élevé que la moyenne. Nous avons accompagné ce client dans le développement des soft skills des managers, afin de les aider à progresser encore, au-delà de leurs compétences techniques. Mais ce n’est pas tout. Le coaching a été un réel succès, aussi et surtout, car les managers coachés ont pointé les bénéfices en matière de mieux-être au travail : gestion du stress, confiance en soi, prise du recul par rapport à un quotidien sous pression…

 

Ce dispositif a été très bien accueilli, perçu comme « un cadeau » par les collaborateurs concernés, se sentant ainsi soutenus par leur direction RH. Du point de vue de l’entreprise, il est rassurant de savoir ses collaborateurs plus heureux dans leur travail et mieux « armés » pour faire face à tout défi professionnel. Le coaching peut donc être un outil préventif de qualité de vie au travail, en contribuant tout à la fois à répondre à des enjeux de performance et de fidélisation des talents.

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